Gainchart

Tableau 12 – Tableau des gains d’un modèle de choix continu (le modèle de régression linéaire)

Décile

Réponses réelles

Rentabilité

Réponses prédites

lim.

Cum.

no.

cum.

revenus

cum.

Prc.

Profit

Cum.

Revenus

Cum

(1)

(2)

(3)

(4)

(5)

(6)

(7)

(8)

(9)

(10)

(11)

249

1221

737

737

354

354

31,0%

30969

30969

362

362

180

2442

585

1322

211

564

50,0%

13510

44479

211

573

140

3663

469

1791

140

704

62,0%

4861

49341

158

731

113

4884

430

2221

118

822

73,0%

2209

51550

126

857

81

6105

323

2544

74

896

79,0%

-3151

48399

98

956

50

7326

245

2789

66

963

85,0%

-4108

44291

64

1020

38

8547

162

2951

54

1017

90,0%

-5584

38707

42

1062

34

9768

174

3125

57

1074

95,0%

-5249

33459

36

1098

32

10989

150

3275

34

1108

98,0%

-8095

25364

33

1131

7

12210

136

3411

26

1133

100,0%

-9071

16293

30

1162

Le profit cumulé maximum est atteint au niveau du quatrième décile.

10%*(822*1221)- 4*1221*10F = 51550F

C'est un profit supérieur aux profits calculés pour les modèles de choix discrets. Le bon ajustement du modèle linéaire et la nature des données analysés place les performances prédictives de ce modèle au même niveau que celui des autres modèles de choix continu qui sont présentés par la suite. Ce résultat dans le cas particulier du modèle linéaire est différent de celui obtenu par Levin et Zahavi (1998) qui observent des faibles performances prédictives du modèle et les attribuent aux nonlinéarités qui caractérisaient leurs données. Il est évident que d’un point de vue théorique le modèle linéaire est moins adapté pour représenter les situations de choix continu pour de nombreuses raisons dont quelques-unes ont été évoquées auparavant.

Michel CALCIU, Francis SALERNO; - Congrès AFM, Nancy 2005  - -